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Tribune : Un internaute alerte face à la situation socioéconomique du Tchad

Écartés de tout processus, de tout développement et de tout épanouissement au moindre détail.

Les tchadiens dans leur ensemble se sentent, peu ou pas considérés dans les politiques publiques et la gestion du bien de l’État.

Dans chaque pays il y a une classe des individus qui,  à chaque circonstance se partagent le gâteau au nom d’une communauté et d’un prétendu parti politique pour enfoncer d’avance la misère et l’injustice sociale.

Nous sommes, ces tchadiens qui pensent qu’ils sont libres dans leur propre pays, épanouis et respectés dans leur propre pays.

Nous sommes de ces tchadiens qui espèrent un Tchad sans clivage, sans ethnocentrisme, sans tueries.

Nous voulons d’un Tchad où l’on peut circuler dans la nuit sans craindre des éventuelles attaques.

Nous voulons de ce pays au cœur de l’Afrique prospérer, en résolvant les problèmes de l’électricité, de l’eau, des infrastructures socioéducatives de base et éradiquer le phénomène de la famine qui extermine les populations de la bande sahélienne.

Le sous-développement  du Tchad est politique, oui sans doute ! Tous les régimes qui se sont succédés n’ont aucunement solutionné le sous-développement ni même proposer des pistes de solution.

Notre fierté entonnera quand nous allons débuter à exporter de l’électricité solaire aux pays voisins, nous serons fier quand nos industries commencent à prospérer et générer de l’emploi.

Nous aurons la paix, le développement et la justice que lorsque nous bouchons temporairement l’exploitation de l’or noire, qui aujourd’hui, la base de l’injustice et de la corruption.

Aux détracteurs qui font semblant, non il y a des problèmes auxquels il faut se prononcer. Notre rêve c’est de faire du Tchad  le Rwanda de l’Afrique centrale.

Les voix dissidentes, les manifestations et les dénonciations ne devraient pas faire penser que les tchadiens sont sur la ligne rouge de l’explosion, tout en nous rappelant, le septembre noir, janvier noir ou février noir…

Aujourd’hui tous les mois sont noirs, il n’y a pas nécessité de préciser les mois, juste regardez autour de vous.

Toutes les dénonciations faites par des « petits » tchadiens comme nous, serviront peut-être à jauger les différentes actions politiques entreprises en vue de leur amélioration.

Si chacun resterait dans le silence, nous n’aurions servi à rien.

TWM, TYA ALI ADJI

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