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Qui sommes-nous

Les technologies de l’information et de la communication occupent de nos jours une place primordiale dans la vie des nombreuses populations à travers le monde transformant ce dernier en un village planétaire. Les différents outils de communication qu’offre la technologie sont non seulement innovants mais à la fois simplifiés et faciles d’accès.

L’impact qu’a cette évolution du digital auprès des populations est grande et surtout auprès de la jeunesse qui utilise et développe ces outils.

Les sites web, les réseaux sociaux et réseaux professionnels sont aujourd’hui les plateformes virtuelles les plus utilisés non seulement par les médias mais aussi par les entreprises et les particuliers pour communiquer avec leurs abonnées et clients. Les médias traditionnels, notamment la radio, la télévision et la presse écrites sont obligés de passer par les nouvelles technologies pour se maintenir mais aussi se développer. Il est
facile aujourd’hui de trouver une page fecebook, twitter ou Instagram d’un grand organe de presse et cela a travers aussi des applications mobiles personnalisées.

Le projet tout numérique lancé depuis quelques années dans toute l’Afrique n’a pas encore donné les résultats escomptés et cela dû à la non maîtrise des différents mécanismes de communication dans la technique que dans la réflexion.

Nous assistons à un changement dans tous les domaines, et cette évolution nécessite la création d’un environnement propice afin de contrôler la transition. Dans un pays comme le Tchad ou plus de 70% de sa population est jeune, les aspirations au changement sont plus pressantes en termes d’emploi, de la créativité, de la place dans la prise des décisions ainsi que de l’épanouissement.

Le Tchad comme des nombreux pays à travers le monde ne maîtrisent pas encore la libéralisation de l’outil internet. Depuis bientôt une année une restriction d’accès aux réseaux sociaux et certains sites d’informations est constaté.

Le digital en général et l’internet en particuliers constituent non seulement un secteur des nouvelles technologies mais également un domaine d’innovation et d’entrepreneuriat cela à été prouvé dans certains pays tels que le rwandais et le Kenya.

Il est tout à fait essentiel pour le pays de libéraliser l’accès à internet afin qu’il puisse occuper la jeunesse, lui offrir du travail et faire accroître l’innovation technologique dans le pays.
Comme dans plusieurs pays de la sous région, au Tchad le secteur des médias connait quelques embûches, s’agissant de la liberté d’expression mais aussi du professionnalisme des acteurs eux-mêmes.

Nous dénombrons au Tchad trois chaines des télévisions quelques cinquantaine des radios et une vingtaine des journaux. La presse en ligne étant encore moderne, il n’y a que 4 organes qui sont officiellement des organes de presse, le reste ne sont que des pages et autre plateformes appartenant à des activistes vivant à l’étrangers et des
particuliers.

Le secteur de l’information et de la communication intéresse plus d’un jeune la preuve est que chaque année au minium 100 jeunes (rectorat) sont formés à travers les universités et instituts supérieurs à l’intérieur ainsi qu’à l’extérieur du pays. Cette jeunesse aspire à travers à des structures médiatiques répondant aux normes des
métiers mais aussi à la hauteur des défis technologiques du moment.

C’est ce constat qui nous a plongé dans une profonde réflexion pour déboucher sur un model de médias moderne et innovant dans lequel tous les jeunes des différents domaines puissent trouver leurs comptes.