Tribune : Tahir Hamid Nguilin incarne une nouvelle manière de servir l’État, par Mahamat Djidi
Dans une déclaration, l’homme politique Mahamat Djiddi loue les efforts de redressement du Ministère d’État, ministre en charge des Finances, Tahir Hamid Nguilin. Depuis quelque temps, des voix s’élèvent contre le ministre des Finances, accusé sans preuves par un groupe d’individus tapis dans l’ombre, a-t-il écrit.
« Animés par des ambitions égoïstes, ces détracteurs, qualifiés par certains d’« opportunistes de crise », semblent regretter une époque où les caisses de l’État leur étaient ouvertes. Leur frustration serait née du verrou mis par Nguilin sur les finances publiques, au nom de la rigueur et de la transparence. Incapables de trouver la moindre faille, ils orchestrent désormais une campagne de discrédit fondée sur des allégations creuses.
Ces manœuvres se veulent habiles mais se heurtent à l’intégrité d’un homme que beaucoup considèrent comme l’un des piliers de l’État. Fouillant les archives à la recherche d’éléments à charge, ces anciens profiteurs de la gestion post-Covid, pourtant bénéficiaires des fonds publics à travers des canaux obscurs, tentent aujourd’hui de retourner la situation. Ironie du sort, ils ont eux-mêmes profité du système qu’ils dénoncent. Et malgré leurs efforts, aucun élément concret ne vient soutenir leurs accusations de détournement ou de corruption.
Le ministre Nguilin, réputé pour sa droiture, fait face à ces tentatives de déstabilisation avec calme et fermeté. Homme de rigueur, il est loin des pratiques liberticides ou mafieuses que ses adversaires cherchent à lui coller. Son parcours, ses résultats et son attachement à la probité ont fait de lui une figure rassurante pour de nombreux Tchadiens. Son alliance solide avec le Président de Transition, Mahamat Idriss Déby Itno, est perçue comme un gage de continuité et de stabilité dans la gestion des affaires publiques.
Ces attaques, souvent orchestrées par des proches ou anciens alliés devenus envieux, illustrent une triste réalité bien connue en Afrique : la trahison vient rarement de loin.
Tahir Hamid Nguilin incarne une nouvelle manière de servir l’État : avec loyauté, compétence et intégrité. Et cela, visiblement, dérange. »