Tribune : Le journaliste Ahmat Adoum Moussa revient sur la déclaration du SG des Transformateurs
Dans une déclaration, le journaliste Ahmat Adoum Moussa, Directeur de la publication du journal Quotidien Le Sahel, revient sur la récente déclaration du Secrétaire Général du Parti Les Transformateurs.
Ci-dessous l’intégralité de sa déclaration.
Droit de réponse par rapport à la sortie du Secrétaire Général des lycaons (Transformateurs), affirmant que les journalistes en mission à Mandakao sont là pour fabriquer des preuves contre leur leader
Le secrétaire du parti « Les Transformateurs » s’est fendu d’une déclaration fantaisiste et tordue dans laquelle, il affirme que des journalistes sont dépêchés avec les moyens de l’État pour fabriquer des preuves contre leur leader, Dr Succès Masra.
Une telle sortie venant des Transformateurs, n’est guère surprenante, puisque ces lycaons se sont toujours saisis de rumeurs pour répandre sur les réseaux sociaux des informations totalement fausses.
Leur stratégie est basée sur le mensonge, la manipulation et l’incitation à la haine, en faisant porter aux autres le bonnet de leur irresponsabilité à chaque situation. Ils criaient « Justice, égalité » pour en dormir la population en faisant croire qu’ils étaient une vraie opposition.
heureusement, le masque est tombé après l’atterrissage de leur cargo à la terre promise (Primature). En complicité avec le régime autocrate qui bafoue toutes les libertés, ils ont assassiné le leader d’une vraie opposition.
Et comme tout se paye ici bas, ils sont en train de payer le prix de leur trahison. Un adage de chez nous ne dit-il pas que «La même rasoir qui a rasé Hassan, rasera Hissein?». C’est encore tôt pour pleurnicher sur les réseaux sociaux.
Même si pour ces politicards hypocrites, en quête permanente des intérêts égoïstes, l’éthique n’existe pas en politique, pour ma part, ma responsabilité sociale m’oblige à me soumettre au respect strict de l’éthique et de la déontologie de mon métier.
De ce qui précède, ces opportunités et d’ailleurs complices d’un crime le plus odieux de l’histoire, doivent comprendre que tous les journalistes ne sont pas opportunistes.
Compte tenu de la précarité de notre métier, n’importe qui peut mettre à notre disposition des moyens nous permettant d’être en contact avec la réalité et nous avons toujours fait preuve de responsabilité.
Ni ce régime, moins encore des aventuriers politiques comme les “Transformateurs », ne peuvent m’imposer une ligne directrice, car au-delà des circonstances, il y’a l’histoire et l’avenir.