Société : La peau d’oignon, un trésor riche méconnu par plus d’un
A la fois un légume et un condiment, l’oignon est une espèce de plantes herbacées, cultivée comme potagère partout dans le monde. Elle peut être consommée crue, cuite ou également confit au vinaigre.
Riche, composés des antioxydants, lorsqu’ils sont consommés régulièrement et en quantité suffisante, ces composés peuvent aider à protéger contre des maladies chroniques telles que le cancer et le diabète. C’est aussi un anti-inflammatoire, antibiotique, antiviral.
Pourtant, la peau des oignon est réputée pour aider à réguler les taux de sucre dans le sang, est aussi, un brûleur de graisse très efficace, évite la rétention d’eau et aide même à rendre un ventre plat.
Malgré son potentiel nutritionnel et ses bienfaits pour la santé, la peau d’oignon est souvent ignorée et finit pour la plupart du cas dans la poubelle.
Selon une étude récente, la peau d’oignon est particulièrement riche en antioxydant et minéraux très essentiels, tels que : la vitamine C, A, E et K, ainsi que du potassium, du fer, du phosphore et du magnésium.
Cette étude confirme que les antioxydants peuvent aider à prévenir le vieillissement prématuré, les maladies cardiovasculaires et le cancer.
De plus, la peau d’oignon peut aider à traiter une variété de maux, notamment les maux de tête, la mauvaise digestion, les douleurs articulaires, ainsi qu’à stimuler le système immunitaire et à améliorer la circulation sanguine.
Aussi, l’utilisation de la peau d’oignons occupe une place de choix en cuisine. Elle est utile à divers plats pour donner une texture plus croustillante et un goût plus piquant.
Notons que la peau d’oignon est une partie du légume bien souvent méconnue du grand public, mais qui offre d’énormes bienfaits et de possibilités de préparation culinaire.
C’est pourquoi il est important de la conserver et de l’utiliser pour profiter de ses bienfaits.
Au Tchad, la culture de l’oignon est faites dans les régions du Ouaddaï, du Mayo-Kebbi, du Kanem, du Lac, du Barh Elghazel et dans les périphéries urbaine de Ndjamena dont une forte demande est constatée pendant les périodes des fêtes et de Ramadan.
TWM/ Saleh Ratou